
L'École Supérieure du Digital
Publié le 23 oct. 2025
Silence, ça tourne à l’ESD Paris !
À l’École Supérieure du Digital, la créativité ne reste pas dans les carnets de notes. Chaque année, les étudiants sont plongés dans des projets concrets qui les confrontent au monde professionnel. Cette fois, les Masters 1 en Vidéo & Digital Contents du campus de Paris ont eu une mission bien particulière : réaliser un court-métrage pour le Nikon Film Festival, dont le thème 2025 est “la beauté”.
Une semaine pour écrire, tourner, monter et livrer un film de deux minutes. Pas simple. Mais terriblement formateur.
Un défi créatif, mais aussi technique
Pendant plusieurs jours, les étudiants ont vécu au rythme des tournages, entre caméras, micros et disques durs pleins à craquer. Le brief était :
un film entre 120 et 140 secondes, tourné en 1080p ou 4K, au format 16:9 (ou 4:3 pour les plus audacieux), avec une bande-son originale ou libre de droits.
En parallèle, ils devaient aussi réaliser un making of, pensé comme une immersion dans les coulisses du projet, au format 16:9 et 9:16, pour raconter autrement l’expérience de tournage.
Mais au-delà de la technique, le véritable enjeu était de traduire la beauté à l’écran : une beauté personnelle, émotionnelle, parfois inattendue. Certains l’ont cherchée dans la lumière, d’autres dans les visages, les gestes ou même les silences. Chacun a dû trouver sa propre définition et la transformer en image.
Une semaine intense et pleine de vie
Ce projet, c’est un condensé d’énergie et de travail d’équipe.
Chaque groupe réunit des profils différents : réalisateurs, monteurs, scénaristes, cadreurs, graphistes, sound designers… Tous doivent trouver leur place et avancer ensemble vers un objectif commun.
Les journées sont longues, les idées fusent, les deadlines approchent, mais la motivation reste intacte. Il y a des doutes, des éclats de rire, des cafés à 23h et des moments de fierté quand la première image prend forme à l’écran.
Les profs et intervenants, tous issus du monde pro, ne sont jamais loin. Ils challengent les étudiants, partagent leurs retours, et les poussent à aller plus loin dans leurs choix narratifs et visuels.
Résultat : en une semaine, chacun ressort avec un film, un making of, et surtout une vraie expérience de production collective.

Une immersion dans le vrai monde de la création
Au-delà du projet lui-même, cette semaine symbolise ce qu’est l’ESD : une école où l’on apprend en créant. Des projets concrets, des contraintes réelles et des expériences qui ressemblent à ce que vivent les créateurs de contenu, réalisateurs et producteurs aujourd’hui.
Participer au Nikon Film Festival, c’est aussi se confronter à un vrai public, se mesurer à d’autres talents, et enrichir son portfolio avec une œuvre qui a du sens.
C’est ce genre d’expérience qui donne confiance, qui fait grandir et qui prépare à travailler dans le monde de l’image et du digital.
L’esprit ESD : apprendre en créant
Cette semaine vidéo en dit long sur la philosophie de l’école.
À l’ESD, la créativité n’est pas un mot à la mode : c’est un mode de vie. Chaque projet est une opportunité de tester, de rater, de recommencer, et surtout d’apprendre. Les étudiants ne sont pas de simples spectateurs du digital, ils en sont les acteurs.
Si tu veux toi aussi vivre ce genre d’expérience, apprendre à raconter des histoires, à filmer, monter et créer des contenus qui marquent, alors l’ESD est faite pour toi.
Ici, la théorie s’apprend sur le terrain, les idées deviennent des projets, et les projets deviennent des carrières.

